Ce projet est similaire au projet SKY en Ethiopie qui avait dû être interrompu à cause des conflits meurtriers dans la région.
Cette fois, en Tanzanie, dans une région sans grosses turbulences, il s’agit de former des jeunes (60% de filles/femmes) en les scolarisant et leur donnant une formation professionnelle, avec à la clé un diplôme reconnu par l’état. Les enseignants sont rémunérés en fonction des succès obtenus. Les jeunes formés sont encouragés à l’entrepreneuriat et poussés à former à leur tour d’autres jeunes, selon le même principe de rémunération.
Esther Kamanija a commencé sa formation en 2022. Elle souhaite avoir une grande fermeprospère. Dans sa localité, de nombreuses personnes pratiquent l’agriculture traditionnelle mais Esther préférerait s’engager dans l’agriculture moderne.
La réalité de nos vies est profondément enracinée dans notre héritage agricole, en particulier avec le rôle de mon père en tant qu’agriculteur. Cela a été une source d’inspiration pour moi qui a alimenté mon désir de me spécialiser dans l’agriculture maraîchère. Je crois fermement que non seulement cette voie sera enrichissante mais aussi qu’elle va créer des opportunités pour d’autres jeunes.
Personne ne fait de meilleurs Samosas que Sophia, 16 ans, dit-on dans le village. Depuis qu’elle a terminé son cours en boulangerie, les gens viennent davantage dans le restaurant de sa mère, que Sophia gère maintenant elle-même grâce à ses nouvelles compétences.
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